LE JOYAU DE LA CÔTE D’OPALE EST MÉTAMORPHOSÉ
Après plusieurs mois de travaux, nous serons heureux de vous accueillir dès le 25 septembre pour vivre une nouvelle expérience de séjour dans un univers sublimé.
Les 115 chambres, le bar et les deux restaurants du Westminster ont été entièrement repensés et modernisés par l’architecte d’intérieur français Bruno Borrione, qui a eu à cœur de sublimer et de préserver son esprit Art Déco.
Découvrez en avant-première un aperçu de la nouvelle décoration des chambres et retrouvez des anecdotes autour des personnages clés de l’Histoire du Westminster, en attendant de pouvoir en écrire une nouvelle page à vos côtés.
William Elliott, l'artiste
Talentueux, créatif et enjoué, William Elliott enchante les papilles des clients du Westminster depuis 1991. Arrivé second, il prend les commandes des cuisines à seulement 26 ans et séduit, depuis, les gourmands et les gourmets. Petit, il rêvait devant Le Westminster. Ado, il découvre la cuisine et décide d’en faire son métier. Il fait ses armes à Paris mais n’oublie jamais sa région de cœur, le Touquet. Aujourd’hui chef étoilé, créateur passionné et véritable artiste, William Elliott compose, dans la cuisine du Westminster, des assiettes audacieuses et inspirées. Avec malice et poésie, il réinvente les grands classiques ou imagine des recettes originales, au gré des saisons et des inspirations.


Véronique Sabatier, la radieuse
Au Spa du Westminster, Véronique Sabatier est en charge de votre bien-être depuis 13 ans. Experte en sérénité, virtuose du zen, la pétillante manager des lieux sait choyer ses hôtes autant que ses collaborateurs ! Elle est arrivée au Westminster sous une pluie battante, n’hésite pas à plonger pour changer les ampoules de la piscine avant un clip d’Iggy Pop, maquille tous les services de l’Hôtel avant les soirées à thème… Sur tous les fronts et toujours à fond, Véronique Sabatier règne sur le royaume des sens et transmet son énergie à tous ceux qui l’entourent ! Illustration Marianne Ratier
Ladislas Boehm, le papa globe-trotteur
Très prisé par les familles, Le Westminster se devait de leur offrir le meilleur. C’est là qu’intervient Ladislas Boehm, expert dans la création de concepts pour enfants et adolescents. Petit, Ladislas parcourait le monde avec ses parents. Devenu grand, il imagine un concept 5 étoiles pour les enfants et développe « Petit VIP », label d'excellence pour les familles. Dans un univers raffiné, sécuritaire et éco-responsable, les enfants apprennent en s’amusant et partagent entre copains des souvenirs pour la vie. Pour les parents, Petit VIP est un service exclusif, la tranquillité d’esprit et des moments de re-connexion avec leurs enfants. Au Studio by Petit VIP du Westminster, les enfants se découvrent de nouveaux talents dans le sport et les 10 arts majeurs. Une seule devise pour cet entrepreneur inspiré : « Rêvez en grand ! ». Et Le Westminster retentit des rires et des rêves de ses jeunes artistes !


Camille Baras : la romantique
Arrivée il y a 15 ans au Westminster, Camille Baras est désormais Adjointe de Direction en charge du marketing et de l’événementiel. A l’extérieur comme en interne, l’image de l’Hôtel, c’est elle. Elle conseille les couples qui choisissent Le Westminster pour leur mariage, rassure les fiancées et soulage même une jeune mariée qui souffrait trop en lui prêtant ses escarpins. Elle y a organisé avec tout autant d’attention des séminaires et supervise l’ouverture du futur club enfants : le Studio by Petit VIP. Inventive, elle aime tisser des liens : ceux du mariage et du bonheur, du Westminster avec ses clients et hors de ses murs ! Illustration : @MarianneRatier - https://www.marianneratier.com/
Hervé Dufrenoy : la référence
Depuis 1989, il se rend indispensable et fait presque partie des murs. De serveur à Maître d’Hôtel, Hervé Dufrenoy grandit avec Le Westminster depuis plus de 30 ans. Depuis son arrivée le 23 mars 1989, il collectionne les anecdotes et les belles histoires. Comme ces deux inconnus qui tombent amoureux à l’occasion d’un mariage et qui reviennent, chaque année, dans leur chambre single, la 216. Ou encore ce chien à qui ses maîtres réservent toujours une chambre... Hervé Dufrenoy a beaucoup apporté au Westminster, et il le lui rend bien ! Illustration : @MarianneRatier - https://www.marianneratier.com/


Bruno Borrione : le créatif
Réinventer Le Westminster est un véritable défi. Inspiré, l’architecte français Bruno Borrione s’y attelle avec passion et talent. Ne pas faire table rase du passé. Conserver l’âme sans sacrifier sa créativité. Rénover l’écrin qu’est Le Westminster n’est pas une mince affaire. Bruno Borrione suit la ligne Art Déco si caractéristique de l’Hôtel pour sublimer les Chambres et les espaces communs. Les habitués y retrouveront la sophistication modernisée de leur West. Illustration : @MarianneRatier - https://www.marianneratier.com/
John Banizette : l'intrépide
De l’élégance du Triangle d’Or parisien à la délicatesse de la Côte d’Opale, John Banizette a quitté Paris pour chapeauter le renouveau du Westminster. S’il a fait ses armes au Fouquet’s, sur les Champs-Élysées, c’est l’hôtel phare du Touquet qui a désormais toute son attention. Directeur Général du Westminster depuis le mois de mars, John Banizette arrive au cœur d’un gigantesque chantier. Affairé, minutieux, enjoué, il s’assure que le nouveau West sera dès le 25 Septembre à la hauteur des souvenirs de ses plus fidèles habitués, des attentes des clients aspirants et du mythe de l’établissement star du Touquet. Illustration : @MarianneRatier - https://www.marianneratier.com/


Lucien Barrière : le précurseur
Lucien Barrière a trois mots d’ordre : modernité, tradition et prestige. Pendant 10 ans, il apprend aux côtés de son oncle François André, tous les rouages du métier d’hôtelier et de casinotier avant de lui succéder en 1962, à la suite de son décès. En quelques années, il rénove les palaces de Cannes, achète des établissements à Deauville, Royan ou Enghien, fait l’acquisition du Westminster. Sous sa houlette, Deauville ou Le Touquet deviennent mondaines. Ainsi naît le Groupe Lucien Barrière. S’il doit finalement se séparer de son West, le Groupe ne l’a jamais oublié. En 2016, l’Hôtel redevient un joyau de la collection Barrière. Illustration : @MarianneRatier - https://www.marianneratier.com/
Philippe Zilli : le téméraire
Familial, chaleureux et convivial, Le Westminster est le théâtre d’expériences inédites, de souvenirs joyeux partagés entre habitués, comme Philippe Zilli et son nouvel an, plutôt frais ! Une soirée extraordinaire. Le Champagne qui tourne. Le matin qui se lève doucement sous les rires et les bravades. Un défi : cette année, Philippe Zilli et ses compagnons de soirée iront célébrer le premier jour de l’année par un bain de mer ! Il ne les connaissait pas hier, ils partagent aujourd’hui un souvenir exceptionnel ! C’est aussi ça le Westminster. Illustration : @MarianneRatier - https://www.marianneratier.com/


Luisa et François : les inconditionnels
Pour faire vivre Le Westminster, il y a le personnel, bien sûr, mais il y a aussi les clients fidèles, les coutumiers des murs, ceux qui font partie de la famille : Luisa et François. Ils aiment Le West pour son âme, ils y viennent pour sa chaleur tranquille, ils reviennent pour son personnel, toujours aux petits soins. Depuis des années, Luisa et François ont trouvé, au Westminster, leur oasis de repos et de sérénité, écrin d’inoubliables moments partagés en famille. Ils y sont connus et reconnus. Attendus. Ils participent, eux aussi, à construire la légende de cet hôtel qu’ils aiment tant. Illustration : @MarianneRatier - https://www.marianneratier.com/
Julie Vecchiarelli, la passionnée.
Dans les coulisses du Westminster, Julie Vecchiarelli, Gouvernante Générale, œuvre au bien-être et au confort de ses hôtes. Sans elle et ses équipes, pas d’hôtel, encore moins de luxe. Julie Vecchiarelli et Le Westminster, c’est d’abord l’histoire d’un coup de foudre. Dès le premier contact, elle sait que c’est lui, qu’il est fait pour elle. Sous sa direction, rien n’est laissé au hasard, on personnalise autant que possible, l’Hôtel est impeccable. D’un simple regard, les clients lui font confiance, jusqu’à lui confier leur nourrisson, le temps d’une douche ! Le talent, c’est aussi de savoir s’adapter. Illustration : @MarianneRatier - https://www.marianneratier.com/


Gilles Petit, le virtuose
Chef d’orchestre du Restaurant, veillant au bien-être de ses hôtes comme à l’efficacité du personnel, Gilles Petit veille sur le Westminster depuis le printemps 90. Venu pour la saison, il est resté toute sa vie. Aujourd'hui Responsable de la Restauration, il a vu défiler à ses tables des clients fidèles, des célébrités de leurs temps et même un Président. Son plus beau souvenir ? Servir Jacques Chirac. Sa plus belle réussite ? Faire plaisir à ses clients. Après 30 ans de service, il y a toujours autant de bonheur entre Gilles Petit et son « West’ » ! Illustration : @MarianneRatier - https://www.marianneratier.com/
Gauthier Lefebvre, l'incontournable
Une oreille à l’écoute, une présence discrète et confidentielle, un expert de la région et de ses environs… Gauthier Lefebvre est tout à la fois au Westminster ; il est Concierge. Il a ri avec Anne Roumanoff, et discuté avec Philippe Croizon, veillé sur le séjour de Nicolas Sirkis et admiré la joie de vivre du groupe Earth Wind and Fire ; il a même appris à démarrer une Aston Martin ! Dans sa loge, Gauthier Lefebvre est un peu l’âme du Westminster. Il partage les secrets de sa ville et exauce, toujours avec plaisir, les vœux les plus fous comme les souhaits les plus doux. Illustration : @MarianneRatier - https://www.marianneratier.com/


Martine Carol, l'icône
Vedette éternelle même dans l’oubli, délaissée par son public désormais amoureux de Bardot, Martine Carol trouve refuge au Westminster qui continue, lui, de la traiter en star. De Caroline chérie à Lola Montès, Martine Carol traverse les fifties sur grand écran, sublime (sex) symbole de la fin d’une époque. Détrônée par Brigitte Bardot et la Nouvelle Vague, la sémillante blonde élit domicile au Westminster, témoin de sa dernière interview et de son refus des années passées. L’Hôtel ne l’a jamais oubliée et elle non plus. Elle l’écrit d’ailleurs dans le livre d’or : « Westminster pour toujours ». Illustration : @MarianneRatier - https://www.marianneratier.com/
Ian Fleming, le joueur.
Si le père de James Bond s’est inspiré du Casino Barrière du Touquet, c’est au Westminster que descendent les interprètes du plus célèbre des agents britanniques. Au début des années 50, Ian Fleming et ses compatriotes viennent s’encanailler au Casino du Touquet. Inspiré, l’écrivain imagine la première aventure de son illustre espion “Casino Royale” au Casino Barrière du Touquet. En 1961, Sean Connery signe son premier contrat siglé 007 sur une table du Westminster, puis c’est au tour de Roger Moore d’y séjourner « with pleasure ! » signera-t-il. Illustration : @MarianneRatier - https://www.marianneratier.com/

La Duchesse de Westminster, la fringante.
Brodeuse émérite, jardinière enthousiaste, hôtesse pétillante et brillante éditrice… C’est d’une femme de passion que Le Westminster tient son nom. La femme derrière le nom. Née Constance Edwina Cornwallis, entre les deux, Duchesse de Westminster par son mariage malheureux avec Arthur Hugh Grosvenor, 2e Duc de Westminster. Élégante, et enjouée, marraine de l’hôpital militaire installé dans les salons du Casino pendant la Première Guerre Mondiale, elle continue, aujourd’hui, de régner sur Le Westminster. Illustration : @MarianneRatier - https://www.marianneratier.com/
Raoul Jourde, le fastueux.
1925. Au tour de Raoul Jourde de mener la danse ! Sous sa direction, Le Westminster s’agrandit et prend des airs somptueux, un peu badins. Un an à peine depuis l’ouverture du Westminster et déjà, il faut agrandir. Sous la houlette de l’éminence Art Déco, Raoul Jourde, l’Hôtel se pare de 250 chambres luxueuses et d’une entrée majestueuse. Repère élégant ou garçonnière de ces galants messieurs descendus, avec leurs femmes, dans un hôtel voisin ? La rumeur court et Le Westminster est plein. Illustration : @MarianneRatier - https://www.marianneratier.com/


Auguste Bluysen, l’efficace.
Pour imaginer Le Westminster, il fallait un homme inspiré, connaisseur et créatif. Il fallait Auguste Bluysen. 8 mois. En 1924, c’est le temps qu’il a fallu à l’architecte Auguste Bluysen pour donner à la forêt du Touquet, « son joyau de plus ». 110 Chambres, une élégante façade Art Déco et des Signatures Royales : du style Queen Anne au mobilier Louis XIII ou XVI, les têtes couronnées inspirent. Et ainsi nait, Le Westminster. Illustration : @MarianneRatier - https://www.marianneratier.com/